La Push... Un endroit pitoyable et pluvieu !

[Lilee Stewart]

Lilee venait d’arriver à La Push après des jours ou elle avait couru sous sa forme de loup. Sa forme de loup … Elle détestait cela, et ce qu’elle détestait encore plus c’était elle-même. Pourquoi avait-il fallu que cela tombe sur elle, sur des millions d’adolescente il fallait que la seule qui se transforme en bête répugnante ce soit-elle. Enfin,non, il n’y avait pas qu’elle il y avait aussi son « frère ». Voir son frère était sa seule possibilité pour comprendre ce qu’il lui arrivait, mais elle redoutait cette confrontation. Et si son père vivait avec lui ? Si il avait l’avait abandonné elle et sa mère pour vivre avec son fils et une autre femme ?
Toutes ses possibilités la dégoûtait.
Elle ne savait ni a quoi son frère ressemblait ni son nom ! Voilà qui aller l’aider ! Retrouver une personne en ne sachant rien sur elle à part que vous avez le même père ! Sa pouvait être n’importe qui.
Lilee sortit des bois et arriva sur une plage. Pas le genre de plage de Californie avec la mer bleu le sable chaud le soleil et les jeunes jouant au volley.Ici c'était une plage moche et brouillardeuse. Ne parlez pas du soleil, à croire qu'il n'avait jamais pointé le bout de son nez ici, et en plus ici tout était humide. Comment les gens faisait donc pour vivre ici ?
La plage était vide,personne pas meme un oiseau. Cela ne l’étonna pas un endroit aussi moche était forcément vide. Elle ne reprit pas sa forme humaine et continua a trotter jusque sur le sable et s’y assit.
Elle se haïssait :
Elle avait tué sa mère.
Sans se rendre compte les larmes lui montèrent au yeux et des larmes aussi grosse que des balles de tennis s’écrasèrent sur le sol.
Qu’avait-elle fait pour mériter cela ?
Elle ne se sentait plus humaine elle était devenu un animal primitif et elle avait perdu sa féminité… La jeune Stewart se dit qu’elle devait être la seule fille dans ce cas. Personne n’avait jamais parlé de louve garou. Les loups-garous étaient des hommes, les hommes étaient primitif alors cela ne les dérangeaient pas. Mais une femme ! C’était la pire chose qu’on pouvait infligé à une jeune fille.

La louve blanche s’allongea avec comme seul compagnie le vent et la mer.

[William McKenzie]

William était un fidèle habitant de Forks. Il y avait passé toute sa vie d'humain, y avait perdu sa famille, s'y était fait mordre & résidait encore & toujours dans la même demeure, aujourd'hui, en tant que vampire. Alors en plus d'être assez glauque, c'est aussi très lassant. Imaginez-vous passer deux cent quatre-vingt sept ans d'existence au même endroit ? Ce n'est pas très enviable. Mais Will' était du genre à bien aimer la routine, ... très conservateur, il détestait le progrès & toutes les conneries. L'évolution humaine ? Il y a toujours des morts, des souffrances... & de plus en plus de peurs & de problèmes. Alors si c'est ça l'avenir ... ce n'est vraiment pas tentant. Will' pessimiste ? Peut-être, en effet.
Pourtant ce jour là, il n'était pas de promenade dans son bon vieux bois de la ville. Ce qui ... relevait de l'exploit. Un petit tour ailleurs, ... mais sous condition particulière, tout de même. N'oublions pas que les présences humaines exaspèrent William, qu'il évite depuis trois siècles le contact - quoi que ça s'est calmé ces derniers temps, vu qu'il a trouvé amusant de martyriser les autres - & que par dessus tout ... il est complètement insociable ! Donc, ce jour-là, bien qu'il ait décidé de sortir un peu pour " voir d'autres paysages ", il s'était rendu dans un coin de plage très particulier : un ensemble très peu plaisant, pour ne pas dire moche, l'endroit était plutôt sombre - sûrement à cause du brouillard, on sentait dans l'atmosphère une certaine humidité, laissant penser à une petite pluie qui tomberait sans que le manque de soleil ne permette de la distinguer. Le tout entraînait donc un manque évident de population : l'endroit rêvé pour Will'.

Cette solitude, ce goût pour les lieux repoussant, ce pessimisme profond, cette cruauté envers ceux qu'ils croisaient faisait-ils de lui quelqu'un de méchant ? Non, certainement pas. William avait un bon fond, mais il ne laisserait à personne le droit de le découvrir. Il ne s'était jamais remis en question, n'avait jamais eu de pitié pour qui que ce soit, même après lui avoir fait subir les pires misères du monde ... Mais quel vampire peut réellement compatir au sort des humains ? Leur seule qualité était le sang qu'ils pouvaient leur apporter. Certes, il avait été humain dans le passé. Mais il avait été indigne, mauvais & stupide ... enfin, c'était comme ça qu'il se voyait, même si c'était complètement faux - enfin ... William ne s'était jamais remis de la mort de sa famille & s'en sentirait coupable indéfiniment. S'il s'était décidé, après près d'un siècle d'enfermement, à sortir enfin de chez lui, se montrer au monde, ce n'était que parce qu'il avait changement, énormément. Bref.

Il avait marché pour venir jusqu'ici, de son pas lent & son engouement incomparable ... Ca lui avait pris des heures. Toujours aussi motivé, il avançait sur la plage, ne s'approchant pas de la mer. Il n'y avait rien, personne, juste quelques détritus - maudits humains irrespectueux ! - qui jonchaient le sol ... Sable dur à cause de l'humidité, d'une couleur brune grisée ... vraiment rien de joyeux. Après plusieurs minutes passées désertique, William distingua une silhouette. Il aurait fait demi-tour si ça n'avait pas était "quelque chose" d'assis à quatre pattes. Ce n'était donc pas un humain, avançant droit devant lui, indifférent à la chose dont il s'approchait. Il tourna simplement son regard en direction de la bête lorsqu'il passa à côté. Un magnifique loup, visiblement solitaire lui aussi. Soufflant, comme si on lui imposait cela, il alla se poser à quelques mètres de la créature. Il ne lui prêter pas vraiment attention, c'était simplement qu'il fallait bien un endroit où s'arrêter. Il n'allait pas marcher comme ça jusqu'à l'autre bout du pays.. il en aurait été capable, mais bon, ce n'est pas la question.

Il s'était posé sur un énorme rocher, ancré dans le sable. Il sentait l'humidité sur son visage - ceci risquant de faire partir son fond de teint dont il se servait pour masquer la couleur blanchâtre de sa peau. Souhaitant admirer au mieux le nouveau lieu qui s'offrait à lui, il souleva ses lunettes, & les posa sur sa tête, laissant apparaître ses yeux de couleur rouge sang. Le vent & la pluie décoiffaient son impeccable brushing, ... il avait beaucoup moins la classe avec ses yeux rouges, son apparence décoiffée, et le teint qui palissait plus la pluie le démaquillait. Mais il gardait toutefois un certain charme. William, il a le style.. ;-]

[Lilee Stewart]

Lilee toujours perdu dans ses pensés ne vit pas un autre individu arriver sur la plage. Il était silencieux et gracieux elle ne le repéra seulement quand une odeur nauséabonde qui lui brûlait le nez lui arriva au narines. C’était affreux. Elle leva la tête et observa qu’elle était la cause de cette odeur.
Une forme humaine à première vue. Mais durant son voyage Lilee avait croiser des humains et ceux-ci ne dégageait pas une odeur tel que cette personne dégageait.
La silhouette avançait d’une façon gracieuse et rapide, c’était à peine si ses pieds touché le sol,enfin le sable en l’occurrence.
Elle remarqua que la chose regardait en sa direction puis détourna le regard tout en continuant d’avancer. Cela ne soulageait pas la douleur de la louve,au contraire plus il se rapprochait plus elle l’odeur était forte.

La forme se rapprocha.
Un homme. Mais Lilee n’en n’était pas sur,avec toute cette brume. Vêtu de noir et de blanc portant des lunettes de soleil. Sa démarche n’était pas humaine, il dégageait quelque chose qu’aucun humain ne dégageait.
Et pour couronner le tout :
Il décida de s’asseoir sur un rocher près d’elle.
Comme si l’odeur n’était pas assez dégoûtante. Non,il fallait qu’il se mette près d’elle.
Mais, après tout. Il n’en savait rien que son odeur brûlait les narines de la pauvre louve.
Pour lui Lilee n’était qu’un loup sur une plage,moche, humide et brouillardeuse.
Si il savait à côté de quel horrible monstre il était assis.
Mais, il ne le savait pas, et ne le saura sans doute jamais. Et Lilee avait tellement honte qu’elle préférait que personne ne soit au courant.

[FLASH-BACK]

Après avoir sécher les cours durant 2 semaines les amies de Lilee, Mady, Leslie et Sabrina lui rendirent visite. Leslie avait sonner,pendant que les deux autres attendait dans la décapotable bleu de Mady. Lilee avait regarder par la fenêtre pour voir qui venait la dérangeait. Quand elle vu les cheveux blonds de son amie elle eu un pincement au cœur.
Elle voulait les laisser entrer,les serrer dans ses bras,pleurer sur leur épaules,tout leur raconter. Mais à quoi bon ? Elles lui diraient qu’elle est vraiment malade. Sabrina lui toucherait le front, ce dernier serait évidemment brûlant et décréta qu’elle avait beaucoup de température et que la fièvre commencait a lui faire dire n’importe quoi. Mady appellerait le médecin, qui ne serait nullement efficace, et elles partiraient en lui disant qu’une d’entre elle appellerais ce soir pour prendre des nouvelles. Et Lilee serait à nouveau seule.
Alors. Elle n’ouvrit pas la porte, se rallongea sur son lit,tremblante alors que la sonnette retenti une deuxième fois. Lilee elle se figea.
Les talons haut de Leslie claquèrent sur le macadam.
« Elle est pas là ! »
Une portière de voiture claqua.
Et la voiture démarra sous le soleil chaud de la Californie.

[FIN FLASH-BACK]


Tout cela était passer. A présent Lilee était seule, ou presque,sur cette maudite plage dans ce fichu État ou il faisait Archi-moche !
Depuis la mort de sa mère, la jeune fille n’avait adresser la parole à personne.
Cet homme était étrange,mais Lilee devait l’être encore plus.
Elle fila à travers les bois et repris son apparence humaine.
Elle se rendit près de l’arbre ou elle avait abandonner son sac ou se trouvait des vêtements et de la nourriture.
Elle fouilla dans le sac en sortit des sous-vêtement qu’elle enfila puis un T-shirt usé noir. Et un short en jeans.
Puis, elle marcha d’un pas tranquille jusqu’à la plage et se rassit exactement au même endroit ou la louve blanche était assise il y a peine quelques minutes.

[William McKenzie]

Loup, chien, dragon ou verre de terre, pour Will', c'était la même chose. Ces présences l'indifféraient complètement. Bon, peut-être que s'il croisait un dragon, il ne resterait pas sur place, mais ce n'est pas tellement la question ... La bête était à quelques mètres de lui, & il s'en moquait royalement. Qu'est-ce que ça aurait pu lui faire de toute façon ? Il n'allait pas s'approcher pour caresser ce truc sans savoir où il avait traîner avant. Hé, même vampire il avait la classe ! Bref. Il n'aurait donc pas remarqué la disparition de cette bête si son ouïe très fine ne l'avait fait se retourner, au bruit de ses pas sur le sable & du vent sur sa carcasse en mouvement. Il en détacha pourtant rapidement son regard, continuant à scruter l'horizon, comme s'il attendait un signe, quelque chose qui l'aurait fait bouger ... Mais il n'y avait rien. Rien à l'horizon & surtout rien à attendre. Que faire lorsque notre vie est terminée ? Où aller lorsque nous n'avons plus aucun but auquel nous raccrocher ? ... Il se l'était demandé. Des années durant. Mais rien n'y faisait : il n'y a pas de réponse à la question. Il n'y a rien à faire, rien à voir ou aimer lorsque l'on a perdu la vie, la réalité. & l'on ne peut donner un sens à une existence, si celle-ci n'a personne pour se justifier d'être. Ça le perturbait ... Peut-être était-ce l'une des seules choses qui occupait encore son esprit après des siècles sur cette planète. Quoi qu'il évitait d'y songer, cela le mettant souvent dans une rage folle contre lui-même ... Lorsque c'était ainsi il essayait alors de se faire mal, de se mutiler de quelconque façon que ce soit, voulant payer de sa vie ce qu'avait subit ses parents ... Comme si ça en changerait quelque chose ... Il avait souvent pensé à les rejoindre. Mais s'il ne le pouvait pas ? En même temps, il n'avait rien à faire ici non plus. Alors ça aussi, il y pensait ... Quels joyeux sujets de réflexion ... N'est-ce pas ?

Il s'était écoulé plusieurs minutes depuis que le loup était parti - pour aller où, Will' n'en avait aucune idée ... & ça ne l'intéressait pas plus que ça ... - quand il entendit de nouveau les bruits d'un pas sur le sol. Il n'était pas fou, quelqu'un venait. Il se retourna & distingua à travers le brouillard une silhouette qui avançait, ... Elle provenait apparemment de là où était partie la bête, quelques temps plus tôt. Il pensa que les deux aient pu se croiser & s'en désintéressa ... encore une fois. Ce n'est qu'en sentant une goutte de pluie sur sa figure - après tant d'autres pourtant, qu'il songea enfin à la nature de l'être qui était arrivé. Il tourna à nouveau son regard & percuta seulement [ Ouais il est long à la détente Willy =D ] que la "chose" en question était de forme humaine. Vu le brouillard, il n'en était pas tellement sur, mais il pensa à une jeune femme. Ni une, ni deux, il reposa ses lunettes sur son visage. Bien qu'elle n'ait eu que très peu de chance de les voir d'où elle était, les yeux rouges, ce n'est pas très glorieux & assez difficile à expliquer en règle générale. Il s'essuya également le visage, pour ré-étaler le peu de maquillage qui lui restait, afin de ne pas avoir l'air trop ... ridicule ? Non, ce n'était pas vraiment cela qui l'inquiétait.. c'est surtout qu'une personne normalement constituée trouve ça généralement étrange qu'un homme qui n'a visiblement rien d'un efféminé puisse se maquiller ...
Il avait donc, en quelques minutes, retrouvé son allure impeccable, bien qu'il avait le brushing un peu aplati. Mais ce n'était pas du tout important cela ... Après une ou deux minutes à se soucier de lui-même, un détail le frappa & il reporta son attention sur la créature humaine. Elle était placée précisément où le loup s'était trouvé, quelques instants auparavant ... Sachant aussi, qu'elle provenait de la même direction. Drôle de coïncidence. En était-ce une ? ... Un unique moyen de le savoir.

Voilà comment quelqu'un comme Will' passait son temps. Il remarquait les phénomènes, sans y prêter réellement attention, puis, si quelque chose le perturbait, il analysait le truc. Quelle vie ... fascinante. Il ne s'intéressait pas vraiment aux problèmes des gens, ou même à ceux de la vie en générale, il accordait juste de l'importance - enfin, tout est relatif - aux choses qui sortaient de l'ordinaire. Comme ici, cette histoire de loup & de jeune femme ... Ce n'était pas ... logique ?!.

Il se releva donc, ayant enfin trouver son " signal " pour bouger. Il n'était pas du tout habitué à approcher les gens, surtout pas depuis les deux derniers siècles ... mais son charisme naturel l'aidait énormément pour combler ses lacunes creusées par le temps. Il épousseta rapidement ses habits des quelques grains de sable que le vent avait transportés, & avança, d'une démarche décidée sans montrer réellement où il allait, ne se tournant vers la demoiselle qu'au dernier moment. Son hypothèse fut confirmée lorsqu'il arriva au plus près de la jeune femme : c'en était bien une. Elle était même plutôt jolie, bien que Will' ne soit pas très voyeur & encore moins fan de ces grandes poupées que les jeunes de l'époque qualifient de " sexy ". Il ne s'attarda pas réellement sur son physique - ça l'importait en aucune façon - mais engagea la conversation. Il voulait des informations & ne pouvait se permettre un comportement hautain & méprisant comme il avait l'habitude de le faire pour s'amuser. Comme quoi même quand on a plus rien a perdre, on ne s'amuse pas toujours - même s'il faisait ça uniquement parce qu'il le voulait ...

« Excusez mon impudence, Mademoiselle, mais je crains que ce ne soit pas un endroit convenable pour quelqu'un comme vous ici ... Votre beauté contraste beaucoup trop avec ce décor. »

Un sourire l'aurait peut-être rendu plus convaincant & charmant... Mais il ne faut pas abuser des bonnes choses, ... & surtout ... Will' n'y serait pas parvenu, alors.. =S Elle devrait se contenter de cela. Il s'était posté devant elle pour pouvoir lui parler, un genou au sol afin d'être à sa hauteur, les mains posées, jointes sur son autre genou.

[Lilee Stewart]

Quand Lilee c'était rassise,elle était sur que le jeune homme à ses côtés avait remarquer quelque chose. Mais, Lilee n'alla pas lui parler. Il allait venir lui,pourquoi se fatiguer ?
Celà fesait 12 jours que la jeune fille n'avait plus était humaine, et cela fesait du bien de retrouver deux jambes à nouveau.
12 jours ... 12 jours que Joanna Stewart avait trouver la mort, tué par sa propre fille, Lilee.
Lilee baissa la tête, essayant de ne plus penser à ça... Depuis 12 jours elle ne voulait qu'une chose: Sa mort. Mais,voilà, Lilee Gabriella Stewart,ne voulait pas vraiment mourir. Il fallait d'abord qu'elle rencontre son frère et peut-être même son père.
Depuis qu'elle était partit de Los-Angees, Lilee avait beaucoup penser à son père. Elle, ne lui en voulait casiment plus. Elle avait fait pire que lui...
Mais voilà, Lee ne devait plus penser sans cesse à sa mère,sinon elle n'avançerait pas dans ses recherches.
Lilee était tellement dans ses pensés qu'elle remarqua à peine que le jeune homme avait bouger et qu'il était à présent en face d'elle.
L'odeur nauséabonde,Lilee s'en était plus ou moins habituée ...

« Excusez mon impudence, Mademoiselle, mais je crains que ce ne soit pas un endroit convenable pour quelqu'un comme vous ici ... Votre beauté contraste beaucoup trop avec ce décor. »

«Ah ! Beau parleur !» Pensa Lilee.

Lilee attendit quelques secondes avant de parler.


«C'est très gentil de votre part de vous inquiêtez de moi,mais non, je vais rester. Et puis si ma beauté contraste avec le décor c'est bien, pour une fois il y aura quelque chose de beau sur cette plage ! »

Ca va,ses paroles n'étaient pas très dur ni méchante. Juste sincère.
Elle repris la parole.

«Puis-je savoir à qui j'ai affaire ?»

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